29 Novembre 2016
Sauf si l’inspiration divine me fait changer d’opinion brutalement (mais qu’est-ce qu’elle dit ?) je devrais en toute logique écrire prochainement sur la loi française sur le cannabis au volant (ça ne rigole pas attention), les choses à savoir avant d’adopter un sac à puces, une chronique sur les coulisses du monde du strip (ah là y a du monde hein !) et un article même sur ces %@*#$ d’assurances qui nous la mettent bien profond…
Ouais, dis comme ça je ne suis pas sûre que ça donne très envie.
Je fais même des choses que je n’aime pas, car très souvent lorsque je vais sur un blog, et que le bloggeur écrit pour expliquer ce qu’il va faire ou non, cela me plonge dans un état d’ennui avancé.
Mais encore une fois, c’est mon blog.
Et puis ce matin, lorsque j’ai pris mon ordinateur, c’était réellement dans le but d’écrire un de ces articles.
Puis mes ovaires se sont mis à danser le tango, mes règles ont débarquées, et là, ça a été le drame.
Et bin si. Parce que c’est mon blog. Je fais ce que je veux. Et ne fais pas cette tête, je t’ai déjà expliqué que ça n’était pas sale.
J’ai appris très récemment que ce qui rendaient les filles agressives, c’était le syndrome prémenstruel (comprends donc : la période avant les règles.) C’est à ce moment que les hormones pètent les plombs et les nanas aussi.
Je tiens à préciser tout de même que pendant, personnellement, ce n’est pas la joie non plus, car j’ai la sensation récurrente que quelqu’un choppe mes ovaires à pleines mains, et jongle avec de façon aussi délicate qu’un chien joue avec sa balle…
Du coup, j’ai énormément de mal à me concentrer, à être cohérente, et il ne faut bien évidemment pas me faire chier. (Comme n’importe quel être humain qui souffre je pense.)
Je suis sûre que cette nouvelle va te permettre d’appréhender ta journée différemment.
Moi j’arrête mes conneries, je vais aller me noyer sous une douche brûlante.