Du pain, du vin... (Et du fromage, de la charcuterie, du chocolat...)

3 Novembre 2016

-Et si on allait dans un bar à vin ?

Depuis que Cougar Town m’a convaincue des bienfaits de ce breuvage (non je ne suis pas influençable), rien ne sonne mieux à mes oreilles que cette phrase.

Ne me demande pas, ça sera du vin rouge tout le temps, toujours, avec tout, même du poisson, même un dessert, il n’y a que le rouge qui vaille.

(Bon j’avoue, j’ai goûté certains vins blancs qui étaient loin d’être dégueulasse. Mais ne me parle pas de rosé !)

Le vin est la solution à l’ennui, la solution contre le manque de saveur, la solution pour la joie. Si c’est un bon Bordeaux vieillit en fût de chêne, tu peux presque sentir l’odeur des anges…

Mais, parce qu’il y a toujours un mais, ne voulant pas être poursuivi par les alcooliques anonymes, ou pire, par l’état (l’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération, ceci était un message de l'association "pour vivre sain, ne faites plus rien !"), je te parle du vin aujourd’hui pour dire que j’ai décidé de faire un break.

D’accord, il se marie bien avec tout.

J’avoue que sa couleur et son odeur me détendent avant même de l’avoir en bouche (je parle toujours de vin, calme toi).

Ok, rien n’est meilleur à déguster entre amis, excepté peut-être un verre de vin ET une planche de charcuterie/fromage (l’Auvergne, c’est la vie).

J’admets que les salons du vin sont une sortie formidable pour les dimanches après-midi.

Je t’accorde que mes restaurants préférés sont généralement des restaurants à vin.

Oui, il fait partie des alcools les moins caloriques, ce qui permet d’être pompette sans grossir (trop girly quoi !)

En fait, il est bien là le problème.

Le vin, c’est bon. C’est bien

Et comme c’est bon, ça se boit tout seul.

Et comme ça se boit tout seul, je finis pompette (comprends : déchirée).

Et comme je finis pompette (oh puuuutain) et que je n’ai plus 17 ans, j’ai la gueule de bois.

Et comme j’approche (doucement mais sûrement) de la trentaine, je me retrouve avec une envie de mourir dès le lendemain matin et ceux pour touuute la journée à cause d’un mal de crâne persistant et pernicieux. (Et encore, je me bois un litre de flotte pendant la nuit.)

Donc voilà, je m'appelle Mel', et j'ai la gueule de bois.

(Bonjour Mel')

Et j’arrête de boire de l’alcool, au risque que mon corps décide de me quitter. (Je n’ai pas les moyens de survivre à un divorce corporel.)

Demain je fête l’âge du Christ d’une copine. J’espère qu’il y aura du champagne.